LHistoire De La Forêt
Un jour de juin ou javais du mal à me remettre de ma séparation avec mon ex copine, je me décidais de minscrire sur un site de rencontre avec un aspect plus centré sur les rencontres dun soir et les plans cul.
Au fur et à mesure de la visite des profils et divers messages, un profil particulier attira mon attention. Il sagissait de celui dune fille prénommé Marjo avec des photos delles assez imaginatives dans des petites tenues qui plairaient à plus dun homme.
Je me décidai à la contacter et le lendemain elle me répondit, nous échangeâmes plusieurs messages avant de séchanger nos téléphones respectifs. Nous convînmes dun rendez-vous trois jours plus tard.
Cétait un mardi soir vers 21 heures et javais rendez-vous dans sa ville, à part les photos sexy delle je nen avais vu aucun autre. Jarrivai dix minutes en avance et lattendit. Je la vis arriver en direction de ma voiture et je lui fis signe de monter. Nous nous fîmes la bise, elle était vêtue dune petite robe laissant apparaitre ses épaules et descendant jusquau niveau de ses cuisses. Elle était rousse avec des petites tâches de rouceurs mettant en relief son visage. Ces cheveux étaient laissé libre et descendais jusquau milieu de son dos, avec des chaussures ouvertes laissant apparaitre une manucure qui semblait être faite depuis peu.
Nous bavardâmes quelque peu et le soleil tombant progressivement pour laisser la clarté dun soir dété apparaitre avec la moiteur bien courante que nous connaissons chez nous.
Ne voulant pas décidé de ce que nous pouvions faire, je me décidai de nous promener dans la forêt, connaissant quelque peu la ville ou elle habitait, je pris la direction de celle-ci et à la fin de la route je bifurquais à droite dans un petit chemin de terre qui senfonçait dans lobscurité des arbres touffus.
Lorsque la voiture se trouva à labri des regards je marrêtai et Marjorie ne me fit aucun commentaire, jeu juste droit à un sourire de sa part assorti dun clin dil.
Je repris ensuite place côté conducteur et je sortis de la boite à gant une capote que jenfilais et dit à Marjo « je pense que tu nauras aucun souci à tempaler sur ma bite » et celle-ci vint me sur moi et me chevaucha, de tout son long mon sexe pénétra en elle jusquà la garde de mes bourses. Les mouvements étaient lents mais pas très pratique vu létroitesse de lhabitacle.
Je la fis sortir et la mis sur le capot de la voiture cuisse ouverte et chatte béante me réclamant. Je rentrais dun coup en elle et mis de grands coups de rein en un rythme assez soutenu, par moment je faisais sortir mon gland et le rentrais de nouveau dun coup. Tout en la besognant je tétais ses seins, son sexe était trempé de mouille et de désir et ses jambes vinrent senrouler autour de ma taille. Mes mouvements étaient moins rapides mais de plus en plus profond et je sentais la pointe de ses ongles se planter dans le creux de mes omoplates ce qui mexcita encore plus. Ma jouissance se faisait de plus en plus proche et je lentendais haleter comme si Marjorie en perdait la raison. Dun dernier coup de rein dévastateur je laissé échapper de longues giclées en elle ce qui la fit hurler de plaisir tant sa jouissance était bonne.
Je ne regrettais vraiment pas cette rencontre avec cette fille car javais pris mon pied autant quelle ! Tout en menlevant la capote, je la vis me regarder en se touchant les têtons avec un regard coquin comme si elle avait encore envie de jouer avec moi.
Sa main gauche avait saisi ma bite qui reprenait doucement de la vigueur. Elle me tourna le dos et posa ses mains sur le capot en me présentant son cul humide de sa dernière jouissance. Mon gland se présenta sur son petit anneau plissé et je le fis rentrer progressivement, ça ne devait pas être la première fois quelle se faisait sodomiser vu la progression de mon sexe en elle. Quand jarrivai à coller mes couilles contre ses fesses, elle gémit et me dit « casse moi le cul, défonces moi avec ta grosse queue », je ne me fis pas prier et ma cadence se fit plus rapide et mes coups plus violent. Dun coup ma bite sorti entièrement et je vis son trou béant déformé par ma bite et de nouveau je la fis rentrer dun coup, son cul nétait pas trop serré et je la besognais de plus en plus violement en la tenant fermement par les hanches et soudain je déchargeai en elle une nouvelle fournée de sperme, jen avais les jambes qui tremblaient tellement la jouissance fut violente. Marjorie vint se blottir dans mes bras et nous nous rhabillâmes et primes la direction de son domicile. Arrivé devant nous nous fîmes un long et doux baiser et elle me dit demain après-midi ma sur nest pas la si tu veux passer nhésites pas.
Je neu pas longtemps à réfléchir avant de lui dire à demain...
Le lendemain fut intense également et je vous le raconterais au prochain épisode..
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